Kuala mêle, dans un joyeux chaos, des échoppes chinoises aux teintes pastel, d’émouvantes bâtisses indo-mauresques aux murs lézardés, de gracieuses mosquées ouvertes aux quatre vents qui semblent survivre à l’ombre des sièges rutilants de la finance mondiale à l’image des mytiques « Petronas », et des « malls » flambant neufs.